C’est ce WE que le stade de la Grande Faucille va voir s’affronter les Teddy Bears et les Marteaux. C’est ce défis que devra relever Arilir. La rencontre est inédite et l’issu incertaine malgré les cotes du match encore en défaveur de l’équipe de Rostov.

Nous nous sommes déplacés dans les locaux des Marteaux ou nous avons été accueilli par Arilir dans son modeste bureau.

modeste bureau d'Arilir

Vladimir : Bonjour Arilir !
Arilir : Bonjour Vladimir et bienvenu. Thé ? Café ? Vodka ?
Vladimir : Vodka, merci.
Arilir : Tenez, cuvé de Rostov. Alors, je vous écoute.

sponsor de l'équipe

Vladimir :  Ce match  sera t il insurmontable pour les Marteaux ?
Arilir : Difficile, mais il est surtout dur de juger les Français en fonction de leur parcours peut représentatif de ce début de saison. Donc on ne sait vraiment pas à quoi s’attendre mais une chose me rassure.
Vladimir : Laquelle ?
Arilir : Je pense qu’eux aussi ne savent pas trop à quoi s’attendre.
Vladimir : Et Morrison ?
Arilir : Koukoulina ! Ils ont leur star et nous la notre. A une différence prêt, la leur va essayer de marquer des buts et la notre de l’en empêcher. C’est Dusan Jagr qui aura l’honneur de marquer pour nous.
Vladimir : Pour vous le match sera équilibré ?
Arilir : Je le crois oui 
Vladimir : Technique ou physique ?
Arilir : Les deux, les Teddy Bears sont polyvalents. Et quand ils jouent physiques ce n’est jamais pour chercher le kill mais le but. Il y a des chances qu’on ait un jeu équivalent.
Vladimir : Je ne vous demande pas qu’elles tactiques vous allez jouer ?
Arilir : Comme depuis notre retour d’Australie, nous essayons de surprendre et d’innover. On ne sort jamais deux fois de suite le même jeu.
Vladimir : Pourtant contre les Volcaniks…
Arilir : On a sorti deux blitz, mais il y avait un moment que ce n’était pas arrivé. Et on savait que ça passerait car on avait déjà eu à faire à leur défense. Contre les hommes de Grumly c’est le flou total.
Vladimir : En deux saisons, vous n’avez perdu qu’une fois à domicile, l’année dernière contre les Licornes. 

photo volée des Bloqueurs français.

Arilir : Exact, et je considère que j’ai une revanche à prendre, gagner chez eux. Nous aurions aimé pouvoir les défier ce tour ci. Mais ce n’est pas encore possible. Avec un peu de chance, le hasard fera bien les choses.
Vladimir : Vous n’avez pas peur de ne prendre qu’une défaite de plus ?
Arilir : Bien sur ! S’ils sont premier ce n’est pas par hasard. Mais je pense que nous en sommes capables. Et je pense aussi que Chacal va montrer ses dents pour sa revanche ce WE. Il n’y a pas 50 équipes que nous redoutons d’affronter.
Vladimir : Alors ce sont lesquelles ?
Arilir : Les Licornes et Roma pour le jeu technique et Eternam et les Wolfs pour l’aspect physique. Ce sont les quatre équipes contre lesquelles nous serions sur le fil du rasoir pour avoir une victoire.
Vladimir : A éviter ?
Arilir : Non, d’ailleurs on est sixième et ça m’étonnerait qu’on ne se prenne pas un défis d’une de ces équipes bientôt.
Vladimir : Vous n’avez pas encore défié ?
Arilir : Non, on garde ça pour les derniers matchs. Rien n’est encore joué et on peut très bien se retrouver en fond de tableau.
Vladimir : Qui sera champion pour vous cette année ?
Arilir : Les Licornes sans doute, avec la Roma en 2. Pour le reste, encore très difficile à dire. La compétition est dure et beaucoup d’équipes se valent, il faut bien le reconnaître.
Vladimir : Vos objectifs étaient le maintient, ils ont changés ?
Arilir : Oui et Non, finir le plus haut, sans monter en Platinium.

C’était Vladimir Vlash à Rostov