Les Marteaux sont allés s’imposer face aux Volcaniks, en Islande, sur un score de 5 à 10. La victoire a été obtenu contre toute attente des pronostiqueurs, une fois de plus va pouvoir dire Arilir.

Nous ne reviendrons pas sur les incidents qui ont eu lieu au retour de l’équipe de Rostov et laisserons le dossier aux  mains de la justice impartiale de notre beau pays.

Mais revenons sur le match commenté par Arilir de son lit d’hôpital :

Bonjour à tous holo-spectateurs ! C’est devant 10700 spectateurs, et sur une note finale d’intérêt de 2221 que les Marteaux sont entrés dans l’Ebullition Stadium ce Week End.

1er Quart :
Les Volcaniks tentent de surprendre notre défense en envoyant la balle directement en 4. Deux joueurs Islandais vont vers elle, pendant que les trois autres, avancent en bas de terrain. Ils seront stoppés en case 5 par quatre défenseurs de Rostov d’où la balle ne sortira plus.

Une fois de plus, bonne défense. Dommage qu’on ait pas tenté une relance.

2eme Quart :
Un blitz rapide jusqu’en case 26. Une joueur islandais récupérera la balle avant de se faire plaquer. Barym la prendra pour aller marquer de la case 27.

Simple, efficace, sans bavure.

3eme Quart :
Les Volc tentent à leur tour un blitz. Après un petit moment de ‘je te prends la balle’, ‘tu la récupères’ ils tireront avec succès en case 26.

Rien à dire ! On a manqué d’un peu d’initiative sur ce quart.

4eme Quart :
Un autre blitz encore plus net que le premier. Dusan traversera le terrain sans problème pour tirer et marquer de la case 27.

Du grand Dusan Jagr ! Parfait.

Journaliste : Vous nous avez menti Arilir !
Arilir : Pardon ?
Journaliste : Vous aviez annoncé que vous jouiriez en finesse, rapide et fluide. On a eu droit à un match simple et efficace, mais sûrement pas en finesse.
Arilir : Oui, bon, vous savez, l’intox est lui aussi le nerf de la guerre. Après la vodka bien sur.
Journaliste : Vous avez joué physique et laissé quelques traces sur l’équipe Islandaise.
Arilir : Rien de bien méchant. Une bouillotte, un supo et je pense qu’ils s’en remettront.
Journaliste : 2ème victoire consécutive !
Arilir : Et bien deux choses me font TRES plaisir.
Journaliste : Lesquelles ?
Arilir : Premièrement, la victoire contre toute attente des pronostiqueurs.
Journaliste : J’avais parié sur vous !
Arilir : Tout le monde me dis ça, oui. Et en 2, un score d’intérêt au dessus de 2000. C’est pas le nirvana mais c’est déjà pas mal. Les joueurs font un peu de spectacle.
Journaliste : En effet. Un mot pour les Islandais ?
Arilir : Ils ont l’équipe qu’il faut pour remonter.
Journaliste : Votre prochain match ?
Arilir : Pas du gâteau. J’aurais préféré tomber sur les chevaux à cornes.
Journaliste : Les Licornes vous voulez dire.
Arilir : Si vous voulez, y en a pas à Rostov alors !
Journaliste : Un match contre les Teddy Bears à la maison ne vous convient pas ?
Arilir : Disons qu’on ne sait pas trop comment les négocier les oursons. Je sais qu’ils sont très tactiques et c’est pas le genre d’équipe qui nous réussi. En plus on m’a dit qu’ils avaient des joueurs aux hormones.
Journaliste : Pardon ?
Arilir : Houai, ils font des expériences sur les joueurs quoi ! Pour résister à Eternam, faut forcement manger des trucs pas clair.
Journaliste : Attention à la diffamation Arilir !
Arilir : Je dis rien moi ! Mais si on perd, ce sera pas de ma faute, c’est tout.
Journaliste : Quoi qu’il en soit, même si on ne peut pas trop vous faire confiance sur les façons de nous dire comment vous aller aborder les matchs, comment allez vous jouer contre les français ?
Arilir : Heu, en finesse, rapide et fluide !
Journaliste : Houai, je me doutais de la réponse. En tout cas bonne chance pour l…
Arilir : J’ai pas fini ! Je suis sur une occase en or pour notre prochain déplacement.
Journaliste : Vous voulez dire comme véhicule ?
Arilir : Da ! Vous n’en croirez pas vos yeux.
Journaliste : On en croit jamais nos yeux Arilir, n’y nos oreilles !
Arilir : On en reparle la semaine prochaine, rien n’est signé. Une histoire de permis à la con encore.
Journaliste : Bon courage aux joueurs alors !

C’était Vladimir Vlash.