Alors que les Marteaux de Rostov revenaient d’Islande après une victoire 5 à 10 sur une note d’intérêt de 2221, un drame inexplicable à de nouveau eu lieu pour l’équipe d’Arilir. Le malheur c’est une nouvelle fois abattu sur la team de Rostov, en plein déplacement.

la Petite Sirène en perdition

C’est à minuit, heure GMT, que la Petite Sirène à lancé un SOS peut après avoir quitté le port de Reykjavik. Les gardes côtes Islandais nous ont permis d’écouter la bande qui a alertée les sauveteurs :

Voie 1 : On est les champions, on est les champions…
Voie 2 : Boire ou flotter, Hic, faut choisir coach !
Voie 1 : Fait Peter les vodka, c’est moi qui ré… ré… régaleuuuuuuuuuu.
Voie 2 : Oui, enfin, le club surtout.
Voie 1 : Boucle la !
Voie 3 : Coach, coach !
Voie 1 : Quoi ?
Voie 3 : Y a un gros iceberg qui …
<*CCCCRRRRRRRRRRRRUUUUUUUUUUUUUSSSSSSSSSSSSSSSHHHHHHHHHH*>
Voies en fond : On coule !!!!!!!!!!! Vite, à la flotte…. Les femmes et les bouteilles d’abord… Con de bloqueur t’es au milieu… Tu vas la manger ma greffe blitzeur de mes d…
Voie 1 : SOS, SOS, un putain de gros glaçon à défoncé la Petite Sirène ! On coule !!!!!

Un hélicoptère des gardes côtes à pris ces photos peut de temps après le drame. Comme par malchance, une tempête c’est levée, manquant de peut d’engloutir toute l’équipe. A l’heure ou je vous parle rien ne permet de parler d’une erreur humaine. Mais une malveillance des Teddy Bears, le prochain adversaire des Marteaux, n’est pas exclu par la police de Rostov.

un canot de sauvetage

Nous avons réussi à joindre Arilir par téléphone à l’hôpital :

Journaliste : Arilir ? Ici Vladimir Vlash, tout le monde va bien ?
Arilir : Bah ! On a perdu une palette de vodka avec cette histoire !
Journaliste : Des dommages humains ?
Arilir : Non ! Enfin, peut être une dizaine d’hôtesse ou deux, j’ai pas compté.
Journaliste : Mon Dieu ! Noyé ?
Arilir : Killées ! Vous savez, dans un mouvement de foule et de panique, une équipe d’Ultraball fait pas de quartier.
Journaliste : Je vois, il paraît que l’alcool coulait à flot au moment du drame, que c’est il passé ?
Arilir : Ben, heu ! Non, c’était l’heure de l’apéro. Puis, j’ai pas compris. J’ai fait comme qui dirait une sortie de route.
Journaliste : Pardon ? Vous n’étiez pas en bateau ?
Arilir : On va pas chippoter, une sortie de mer si vous voulez.
Journaliste : …
Arilir : …
Journaliste : Bien, écoutez, on va vous laisser vous reposer et on parlera du match un peu plus tard !?
Arilir : C’est ça ! Faut que je récupère moi. En plus ça va encore me retomber sur la tête tout ça. Vraiment pas d’bol.

C’était Vladimir Vlash.