Les Marteaux sont rentrés d’Australie avec un nul dans leur poche, et on aurait pu en être heureux. Mais c’est une tragédie qui a faillit mettre fin à toute l’équipe, qui se déroula un peu plus tard. En effet, les Marteaux ont fait le voyage de retour dans leur superbe acquisition, un C-130 presque tout neuf.

Ils avaient déjà frôlé la catastrophe lors d’un atterrissage acrobatique effectué par le coach lui même, en dehors de la piste, en arrivant en Australie.

A l’heure ou je vous parle nous ne savons pas vraiment ce qui c’est passé, mais une personne à pris cette photo dans les environs de Rostov :

L’avion c’est écrasé un peu plus tard dans un champ, entraînant la mort de trois paisibles vaches. D’après des officiels de la sûreté aérienne, l’accident serait d’origine humaine. Une étrange conversation provenant de l’appareil a été entendu peut de temps avant le crash :

Voie 1 : Putain, c’est quoi ce bouton, je l’ai pas dans mon simulateur.
Voie 2 : Vous devriez pas y toucher coach !
Voie 1 : Depuis quand ta un cerveau, con de bloqueur.
Voie 2 : Merde ! l’avion descend chef…
Voie 1 : Non d’un chien ! plus rien de marche… sabotage… on saute…
Voie 2 : Heu, c’est pas juste le pilote automatique ?
Voie 1 : Ferme là, et prend ton para… breee…. shuttt….. craaaaa…

 
Nous avons réussi à joindre Arilir par téléphone :

Journaliste : Arilir, en pleine forme ?
Arilir : Oui, pourquoi ?
Journaliste : Vous avez atterri en parachute !
Arilir : Bah ! Oui, je voulais faire un peu d’exercice avec l’équipe, et la vodka aidant… On a décidé de s’organiser un parachutage.
Journaliste : Vous savez qu’il y a une enquête pour…
Arilir : Bon ! Vous préférez pas me parler du match ?
Journaliste : Heu, oui… Donc un nul contre Darwin, 10 à 10, satisfait ?
Arilir : Et bien, on était parti pour une victoire bien sur. Et on avait mis en place de nouvelles tactiques. Malheureusement, notre défense n’était pas encore au point. Mais je suis quand même content, on a assuré un nul, et montré que la défaite du premier match n’était qu’un accident.
Journaliste : Les Islandais à domicile pour la prochaine journée. Ca vous inspire quoi ?
Arilir : Et bien, on verra. On les dit rugueux et physiques. Faudra s’attendre à un choc violent. Bon je vous laisse, on a pas encore plier les parachutes.
Journaliste : Merci Arilir, en attendant d’en savoir plus sur ce tragique accident.